Extrait de l’hebdo n°3803
Quarante ans après la proclamation de « l’état de guerre en Pologne » et le rapprochement entre le syndicat libre Solidarność et la CFDT, le lien qui unissait les deux centrales est rompu. En cause, la ligne rouge franchie par le syndicat polonais en faisant la promotion de l’extrême droite française, à laquelle il a récemment consacré plusieurs articles pour le moins élogieux dans sa presse interne.
Un parti pris contre le positionnement de l’ensemble des organisations syndicales françaises, estime la CFDT. « Nous sommes révoltés de voir en France le nom de Solidarnosc servir d’alibi pour l’extrême droite, écrit sans détour Laurent Berger dans un…