Le PSE retoqué de Repetto abonné

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icone Extrait de l'hebdo n°3767

Chez Repetto, la CFDT s’est mobilisée pour contrecarrer un PSE injustifié et insuffisant. La Direccte lui a donné raison en refusant d’homologuer le plan présenté par la direction.

Par Marie-Nadine EltchaninoffPublié le 02/03/2021 à 13h00

Les élus CFDT ont bien résisté face à la direction de Repetto. Son plan de sauvegarde de l’emploi unilatéral n’a d’ailleurs pas été homologué par la Direccte (direction régionale des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’emploi), qui souligne que le groupe bénéficie d’une trésorerie permettant des mesures plus ambitieuses pour l’accompagnement de salariés se trouvant en partie dans un bassin d’emploi restreint.
Les élus CFDT ont bien résisté face à la direction de Repetto. Son plan de sauvegarde de l’emploi unilatéral n’a d’ailleurs pas été homologué par la Direccte (direction régionale des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’emploi), qui souligne que le groupe bénéficie d’une trésorerie permettant des mesures plus ambitieuses pour l’accompagnement de salariés se trouvant en partie dans un bassin d’emploi restreint.© Marta Nascimento/RÉA

C’est ce que l’on appelle un joyau du patrimoine industriel et du savoir-faire français. Les ballerines, pointes et demi-pointes des danseurs classiques ou encore les fameux richelieus Zizi1, longtemps arborés par Serge Gainsbourg, ont fait la réputation de la marque. Derrière cette image glamour, une usine située au fin fond de la Dordogne, à Saint-Médard-d’Excideuil, où travaillent 140 salariés, surtout des ouvrières qui fabriquent les chaussons de danse selon des techniques spécifiques…

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