“La peur et la pression psychologique étaient notre lot quotidien” abonné

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iconeExtrait de l’hebdo n°3793

Au Prat, à Oradour-Saint-Genest (Haute-Vienne), la CFDT s’est implantée il y a quelques mois au sein de l’Institut thérapeutique éducatif et pédagogique Suzanne-Léger. Dans cet établissement médico-social public, les agents sont soumis à des conditions de travail dégradées, à des pressions psychologiques et se sentent abandonnés par les autres organisations syndicales. Le défi à relever est grand pour la jeune section CFDT, mais elle peut compter sur l’indéfectible soutien du Syndicat Santé-Sociaux 87.

Par Guillaume Lefèvre— Publié le 05/10/2021 à 12h00 et mis à jour le 05/10/2022 à 03h06

Au centre, en blanc, Fabienne Deconchat (secrétaire du Syndicat Santé-Sociaux 87) ; à droite, Maryline Breuil (militante arrivée depuis peu qui a fait entrer la CFDT dans l’établissement) et Éric Sidobre (trésorier adjoint du Syndicat Santé-Sociaux 87).
Au centre, en blanc, Fabienne Deconchat (secrétaire du Syndicat Santé-Sociaux 87) ; à droite, Maryline Breuil (militante arrivée depuis peu qui a fait entrer la CFDT dans l’établissement) et Éric Sidobre (trésorier adjoint du Syndicat Santé-Sociaux 87).© Syndheb

« Peur », « trouille », « angoisse » : les agents usent de ces différents termes pour qualifier l’atmosphère dans laquelle ils évoluent depuis plusieurs années. Au sein de l’Institut thérapeutique éducatif et pédagogique (Itep) Suzanne-Léger règne un climat exécrable, alors que la mission de ses 65 agents est…

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