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Les liaisons dangereuses

Vodka et cocaïne ont longtemps fait partie du quotidien de Nicolas, planneur stratégique dans la publicité.

Par Emmanuelle Pirat— Publié le 03/06/2022 à 10h16 et mis à jour le 06/09/2023 à 13h22

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© REA

Au plus fort de ses années d’addictions, Nicolas pouvait boire entre un litre et demi à deux litres de Vodka par jour et sniffer plusieurs lignes de cocaïne. « La coke m’aidait à tenir l’alcool », témoigne cet homme élégant de 44 ans, sobre depuis six ans. Bon élève, milieu aisé, sa « rencontre » avec l’alcool remonte à ses années de lycée. Ses études en école de commerce, ses responsabilités au BDE (bureau des étudiants) – « où le frigo était toujours plein » – puis ses débuts professionnels comme directeur de planning stratégique dans l’une des plus grandes agences de publicité, vont participer à sa progressive…

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