Retrouvez le dossier complet
Les liaisons dangereuses
Vodka et cocaïne ont longtemps fait partie du quotidien de Nicolas, planneur stratégique dans la publicité.
Au plus fort de ses années d’addictions, Nicolas pouvait boire entre un litre et demi à deux litres de Vodka par jour et sniffer plusieurs lignes de cocaïne. « La coke m’aidait à tenir l’alcool », témoigne cet homme élégant de 44 ans, sobre depuis six ans. Bon élève, milieu aisé, sa « rencontre » avec l’alcool remonte à ses années de lycée. Ses études en école de commerce, ses responsabilités au BDE (bureau des étudiants) – « où le frigo était toujours plein » – puis ses débuts professionnels comme directeur de planning stratégique dans l’une des plus grandes agences de publicité, vont participer à sa progressive…