La rédaction de “Syndicalisme Hebdo” s’accorde une pause hivernale jusqu’au mardi 7 janvier 2025. D’ici là, suivez l’actualité sociale sur notre compte Bluesky : @syndicalismehebdo.fr. En savoir plus

Se doper pour travailler abonné

Retrouvez le dossier complet
Les liaisons dangereuses

Il n’y a pas de déterminisme. Mais certains contextes ou environnements professionnels peuvent favoriser les addictions. Pour tenir, physiquement comme psychiquement, des travailleurs ont recours à des substances psychoactives.

Par Emmanuelle Pirat— Publié le 03/06/2022 à 10h16 et mis à jour le 06/09/2023 à 13h22

image
© Federico Pestellini / Panoramic

1. L’intégralité sera publiée dans…

C’est un phénomène peu connu, très peu documenté, car tabou, et pourtant bien réel : la consommation de substances psychoactives au travail. Alcool, cannabis, cocaïne, médicaments (psychotropes, antalgiques, morphine…), produits dopants (amphétamines…) ou combinaisons de ces produits sont consommés pendant et/ou hors temps de travail, sans qu’on puisse mesurer précisément l’ampleur du phénomène. Mais de manière suffisamment significative pour que l’INRS (Institut national de recherche et de sécurité pour la prévention des accidents du travail et des maladies professionnelles) se penche sur le problème.

Selon une étude, publiée le 17 février dernier, menée auprès des professionnels de santé 1

Pour continuer de lire cet article, vous devez être abonné.

s'abonner

Déjà abonné ? Connectez-vous