L’extrême droite n’est pas une fatalité abonné

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iconeExtrait de l’hebdo n°3842

Par Béatrice Lestic— Publié le 27/09/2022 à 12h00 et mis à jour le 27/09/2023 à 02h00

Béatrice Lestic, secrétaire nationale
Béatrice Lestic, secrétaire nationale© Cyril Entzmann

Un choc. Encore un. Le 25 septembre, l’extrême droite est arrivée en tête des élections législatives en Italie pour la première fois depuis la prise du pouvoir par Mussolini, il y a tout juste cent ans. Le 11 septembre dernier, c’est en Suède qu’elle réalisait un score historique. Partout en Europe, les démocraties sont confrontées à son essor. Partout, elle grignote du terrain et gangrène le débat public. Ces résultats sont pour partie le reflet des inquiétudes des citoyens européens face à l’avenir.

Qu’on les appelle néofascistes, populistes de droite ou ultraconservateurs, les partis d’extrême droite partagent les mêmes bases politiques : le rejet de l’autre et le repli sur soi, le bâillonnement…

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