“Le Qatar ne mérite pas de présider la conférence de l’OIT” abonné

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iconeExtrait de l’hebdo n°3878

Réunie à Genève du 5 au 16 juin, la Conférence internationale du Travail, l’organe décisionnel de l’OIT, est cette année présidée par le Qatar. Ubuesque, selon les organisations syndicales françaises, qui dénoncent le mépris de l’émirat du Golfe pour les droits fondamentaux et les normes internationales du travail.

Par Anne-Sophie Balle— Publié le 13/06/2023 à 12h00 et mis à jour le 12/06/2024 à 02h00

Lors de l’ouverture, le 5 juin, de la 111e Conférence internationale du travail, à Genève.
Lors de l’ouverture, le 5 juin, de la 111e Conférence internationale du travail, à Genève.© Crozet – Pouteau/ILO

On a connu des entrées en matière plus apaisées. Mais il est impossible pour les organisations syndicales françaises qui suivent les travaux de la 111e Conférence internationale du travail de ne pas réagir à l’élection officielle, par les 187 pays membres de l’OIT, du ministre qatari du…

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