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Extrait de l’hebdo n°3761
Ils n’en peuvent plus d’attendre et sont bien décidés à le faire savoir…
« Tout à coup, nous étions devenus d’utilité publique, même si les casseroles n’ont pas fait de bruit pour nous. La vérité, c’est que l’on nous a fait travailler plus sans gagner plus mais avec une énorme pression. Certains n’osaient plus toucher leurs proches de peur de les contaminer. Beaucoup ont craqué sous la pression », lâche Gabrielle Cherel, ouvrière de conditionnement chez JPA, une entreprise d’abattage.…