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Extrait de l’hebdo n°3896
Le 6 novembre, la secrétaire générale de la CFDT a rencontré une trentaine d’adhérents journalistes. L’occasion d’évoquer la précarité du métier et les pressions économiques ou politiques subies par une partie de la profession.
La presse papier va mal. Le constat est implacable. À quelques exceptions près, les journaux voient leurs ventes diminuer chaque année sans qu’ils parviennent à compenser ce manque à gagner par de nouvelles recettes issues de la mise en ligne de l’information. Et cette « crise » économique se répercute inévitablement sur les conditions de travail des journalistes. Derrière le métier passion, le métier qui fait rêver, se cache de plus en plus de…