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L’ère du temps
Dans l’hôtellerie, les coupures en journée ou les week-ends travaillés rebutent les candidats aux postes à pourvoir. Dans cet établissement lyonnais du groupe Accor, ces contraintes ont été réduites à la suite de négociations. Les salariés y trouvent leur compte. Reportage.
En ce mardi matin d’août, Michèle, 59 ans, s’active dans la salle de restaurant pour remballer le buffet du petit déjeuner. Après avoir tenté sa chance ailleurs, cette salariée est revenue en février 2022 dans cet hôtel Ibis lyonnais où elle avait déjà travaillé cinq ans. « Je suis allée travailler dans un petit restaurant, avec un contrat de 39 heures. Mais dans les faits, c’était plutôt…